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 La grippe aviaire, affaire à suivre...

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doun'
SCHMOURF
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MessageSujet: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeMar 27 Sep - 9:38

Aujourd'hui j'ai envie de vous déprimer... Je vous mets un article du Point plutôt pessimiste... Mais mieux vaut être au courant !!!

"Une guerre mondiale est déclarée. Contre un ennemi encore inconnu : le virus mutant de la grippe aviaire, qui pourrait la rendre transmissible entre êtres humains et déclencher une pandémie planétaire. La France est en première ligne. Le président Jacques Chirac a donné l'alerte lors du conseil des ministres du 31 août afin que chaque Français puisse être « protégé ou soigné en cas d'apparition de la maladie ». Ce coup de clairon présidentiel annonçant la mobilisation générale a été lancé le jour où le directeur de l'Organisation mondiale de la santé (OMS), Lee Jong-Wook, se trouvait à Paris pour évoquer le sujet.

Dramatisation ? La montée en ligne du président de la République ne relève pas de l'improvisation : depuis près de deux ans, tous les services gouvernementaux planchent sur l'émergence possible d'un véritable cataclysme sanitaire qui, mal contrôlé, ferait des dizaines de millions de morts sur Terre. De 91 000 à 200 000 en France, selon les études de l'Institut national de veille sanitaire (INVS), si l'on ne fait rien. Encore s'agit-il d'un scénario optimiste où seulement 15 à 35 % de la population serait atteinte. Une de ces pandémies comme le monde en a déjà connu dans les temps reculés avec les grandes pestes ou, plus près de nous, avec l'épidémie de grippe espagnole, survenue à la fin de la Première Guerre mondiale. Cette dernière avait provoqué davantage de décès (40 millions) que les combats ! Rien à voir avec l'affaire du sang contaminé, ni même avec l'épidémie de sida : là, chacun d'entre nous peut être touché dès lors qu'il se trouverait à moins de 2 mètres d'un porteur du virus tueur (voir page 64).

Pour l'heure, il est vrai, le virus de la grippe aviaire n'est qu'un virus animal développé au sein d'élevages de poulets asiatiques. Il n'a fait de victimes humaines que parmi les personnes en contact avec ces volailles infectées (voir carte). Aucun cas de transmission de l'homme à l'homme n'est avéré. Mais les scientifiques sont unanimes à prévoir l'« humanisation » du virus, le rendant transmissible d'une personne à l'autre, comme une banale grippe. La seule question est de savoir quand cela se produira. Or il faudra quatre à six mois après son apparition pour produire un vaccin adapté, seule façon de se protéger à cent pour cent. On imagine les conséquences : tous les rapports sociaux peuvent s'en trouver bouleversés, toute l'économie chamboulée, le pays désorganisé... C'est la sécurité de l'Etat qui est en jeu ; les intérêts vitaux de la nation. Voilà pourquoi une stratégie de guerre se met en place.

Chacun pour soi ? Dans la préparation de cette bataille, notre pays a pris de l'avance dès le départ. Mais, comme dans une course contre la montre, celle-ci est fragile. Le gouvernement a commencé par stocker des médicaments (des antiviraux susceptibles de limiter les effets de la maladie), a passé des contrats par anticipation avec les producteurs de vaccins, a acheté des dizaines de millions de masques de protection (voir interview de Xavier Bertrand).
La solidarité internationale, la coopération avec les pays européens ? Pas à l'ordre du jour dans cette phase initiale. Sans fioritures, l'un des organisateurs de la réponse gouvernementale est clair : « C'est vrai : la France est aussi prête que possible, même si tout est loin d'être parfait, quand d'autres pays n'ont rien fait et n'ont pas la moindre capacité à protéger leur population. » Maintenant que les premiers stocks sont constitués, l'approche de nos politiques se veut plus solidaire. Mais, jusqu'à présent, la seule règle était celle du chacun-pour-soi... Un exemple, celui des masques de protection qui jouent un rôle considérable dans la non-propagation de la contagion. Lorsque les Français ont planché sur cette question, ils ont perçu deux problèmes :
- ces masques textiles ne sont depuis longtemps plus fabriqués en France, mais en Asie ou en Amérique latine ;
-- si la pandémie se déclare, les capacités industrielles existantes ne suffiront pas à satisfaire la demande internationale.
Paris a donc incité des industriels (on parle de Bacou-Dalloz et 3M) à acheter des machines de production et à relancer la fabrication sur le sol national à travers « trois chaînes de fabrication » selon les uns, « six à dix ateliers » selon les autres. Les masques de type FFP2 que porterait le personnel médical sont des « consommables » : chaque médecin, chaque infirmière, chaque gendarme en aura besoin au minimum de quatre par jour. Les stratèges de la pandémie estiment que 685 millions de masques doivent être stockés. 50 millions ont déjà été livrés. Il y en aura quatre fois plus fin décembre. Mais ce n'est encore que le tiers du besoin. Les autorités en sont même à cacher leurs véritables intentions sur la constitution de l'arsenal anti-grippe aviaire, car la moindre « annonce fait flamber les prix », confie un responsable.

Dès cet automne. Si l'urgence est si forte, c'est que le monde est à la merci d'un désastre dès cet automne : dans le pire des scénarios, la mutation du virus aviaire, sa transmission de l'homme à l'homme pourrait être favorisée par l'arrivée de la traditionnelle grippe classique. Un scientifique résume : « Si l'explosion se produit en octobre, on est mal. Si c'est dans un an, il faut se mettre sérieusement au boulot ! » Tel est le sens du message de Jacques Chirac, alerté à la fois par la technostructure et par des hommes politiques comme le médecin et député socialiste de Paris Jean-Marie le Guen, qui lui a écrit le 8 août, au retour d'un voyage d'études aux Etats-Unis, qu'il fallait se dépêcher d'enclencher la vitesse supérieure. Ce qui a été fait : nomination d'un délégué interministériel en la personne du directeur général de la santé, Didier Houssin ; annonce de la commande de nouveaux stocks d'antiviraux, que l'industriel Roche, producteur du Tamiflu, dit ne pas avoir reçue ; déclenchement des grandes manoeuvres avec le corps médical qui va être formé.
Au café du commerce, le Français ricane. Or pour tous les experts consultés au cours de notre enquête, dont les avis reposent eux-mêmes sur des dizaines d'entretiens, d'analyses statistiques, de modélisations mathématiques et de colloques, la pandémie surgira un jour. Les pays développés qui se sont préparés s'en sortiront mieux que ceux qui ne l'ont pas fait. De ce point de vue, le Canada et la Suisse seraient en tête, la France juste derrière. Quant aux autres... « Ce sera Armageddon, s'indigne Jean-Marie Le Guen, atterré par l'état d'impréparation dans lequel il a découvert les Etats-Unis. Ce qu'on voit ces jours-ci en Louisiane n'est rien. Ce qui s'annonce dans ce pays si la pandémie éclate est pire que tout. Ils n'ont aucun système de santé publique, et tous mes interlocuteurs sur place s'attendent à une catastrophe. » Leurs stocks de médicaments ne permettraient même pas de protéger les 180 000 soldats présents en Irak.
Dans cette planification de guerre, les achats de munitions - c'est-à-dire de médicaments -, l'organisation de la production, même la protection des sources de matières premières... tout devient stratégique. Et quand, la semaine dernière, le suisse Novartis lance une OPA sur l'américain Chiron, un des deux seuls laboratoires, avec le français Sanofi, capable de mettre au point un vaccin humain contre la grippe aviaire, il se trouve aussitôt des enquêteurs d'un style très discret pour s'assurer qu'il n'y a pas derrière une main malintentionnée
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeMar 27 Sep - 9:39

Aspect étonnant de la crise : le Tamiflu, produit par Roche, le meilleur antiviral disponible sur le marché pour limiter les effets de la maladie, est produit à partir d'une plante bien particulière, la badiane, ou anis étoilé (Illicium verum), cultivée dans le sud de la Chine entre Shanghai et la frontière vietnamienne. Très utilisée en médecine et en alimentation, c'est même le composant de base du pastis marseillais depuis 1932 ! Il existe de l'anis étoilé d'autres provenances (Japon, Vietnam), mais son utilisation vient d'être interdite, car il s'est avéré toxique. Bref, les Chinois sont les maîtres de l'approvisionnement de cette matière première. Il serait étonnant qu'ils ne l'aient pas monnayée au prix fort...
Comme à la guerre, les militaires sont d'ailleurs appelés au front. Quand Paris annonce avoir acheté 14 millions de traitements de Tamiflu (disponibles fin décembre 2005), il ne s'agit pas de boîtes classiques, mais de poudre achetée en vrac et stockée dans des bidons par la pharmacie centrale des armées, qui s'est dotée des machines nécessaires au conditionnement en gélules. De même, ce sont les forces armées et la police qui seront chargées de l'acheminement et de la protection des stocks de vaccins et d'antiviraux. Comme en temps de guerre, les hommes politiques se préparent aussi à assumer des choix difficiles. Ne pas aider les autres pays ne sera pas facile. Mais il faudra assumer également la décision d'interdire le rapatriement sur le sol national de Français qui se trouveraient touchés dans une zone contaminée, voire la fermeture pure et simple des frontières, le cas échéant. Car l'un des scénarios envisagés consiste à interrompre sur-le-champ toutes liaisons, y compris aériennes, avec le premier pays touché par la pandémie. Il faudra également expliquer pourquoi on interdira sans doute les transports en commun, les réunions sportives, on fermera les établissements scolaires, les cinémas, les métros des grandes métropoles...
Ensuite, il faudra gérer les soins. Empêcher l'accès des foules apeurées aux hôpitaux. Il pourrait y avoir, en France, jusqu'à 1 million de malades. La structure hospitalière n'est pas à l'échelle. Il a donc été décidé d'organiser le confinement des malades chez eux. A charge pour le corps médical de venir les visiter (après un appel au 15) et de prescrire les antiviraux qui seront interdits de vente en pharmacie. Une fois l'antidote produit, quelques mois après l'attaque épidémique, il faudra bien sûr organiser la vaccination de toute la population.
Le 30 juin, le gouvernement a réalisé un exercice de simulation afin de tester les différents maillons de la chaîne d'intervention. La Sofres avait même fourni un échantillon de citoyens représentatifs de la population française pour étudier la psychologie des réactions du public. Bien que tenus secrets, les résultats font apparaître deux grands types de comportement. Il y a d'abord le Français « incrédule », mais qui suivra les instructions. A l'opposé, il y a le « rebelle » dont les réactions peuvent être assez inattendues. Autant d'attitudes à prendre en compte le moment venu.
Dans un effort de transparence tout à fait inédit, le plan de lutte contre la grippe aviaire élaboré dès octobre 2004, disponible sur le site Internet du ministère de la Santé, expliquait comment certaines catégories de population et pas d'autres seraient prioritaires dans l'administration des traitements. Aujourd'hui, le ministre de la Santé, Xavier Bertrand, affirme qu'il s'agit d'un malentendu et que chaque malade sera traité de la même façon. Qu'il n'y a « pas de listes secrètes de privilégiés ».
On peut le croire. Toutefois, la continuité de l'Etat en cas de pandémie se doit d'être prévue. Surtout si une personne sur trois est atteinte. Pour éviter la paralysie du pays, assurer le maintien des activités sociales, industrielles ou économiques vitales, il sera nécessaire de protéger d'abord certaines fonctions. Il en est ainsi, à différents degrés, du personnel de santé, de celui des aéroports internationaux, des policiers, des militaires, des transporteurs, des professionnels de l'alimentation. Il faut que les villes continuent à être alimentées, l'électricité produite, la sécurité publique assurée. Ainsi, le Tamiflu, prescrit uniquement à titre curatif pour les malades, pourrait l'être - et cela est juste - à titre préventif pour les personnes le plus exposées. Portes d'entrée de nombreuses maladies, les passagers des aéroports seront bientôt mis sous haute surveillance. Les circuits de débarquement vont être équipés de caméras thermiques détectant les voyageurs fiévreux.
Au-delà du défi sanitaire (protéger et soigner), la nécessité de maintenir l'activité économique et industrielle s'annonce tout aussi compliquée. Les simulations révèlent que des gens refuseront d'aller au travail de peur d'être contaminés. Il est donc prévu de recourir au télétravail. Pour les entreprises ayant des chantiers à l'étranger se pose la question de leurs expatriés. L'option gouvernementale, s'ils viennent à tomber malades, est de les traiter sur place. Cela suppose un important travail de préparation. Beaucoup de sociétés n'ont pas encore l'amorce du moindre plan. « Les plus sensibilisées sont celles qui ont déjà été confrontées au SRAS. Ce sont les premières à nous avoir contactés », commente le docteur Philippe Guibert, d'International SOS, le leader mondial de l'assistance sécurité-santé et des services médicaux aux entreprises. Ainsi, Pernod Ricard affirme s'y préparer. Mais d'autres très exposées, comme Air France (15 % de son trafic passagers est réalisé avec l'Asie), attendent les instructions pour réagir. D'autres, comme la RATP ou Citroën, prétendent que la menace de la grippe aviaire n'est pas une préoccupation. Chez Total ou Lafarge, des niveaux d'alerte ont été organisés. Des stocks de Tamiflu ont commencé à être constitués et l'information du personnel concerné est en cours. Dans les semaines à venir, on devrait toutefois assister à une prise de conscience au niveau des entreprises des grands principes arrêtés au sommet de l'Etat.
L'enjeu est de taille. Selon une étude des analystes de la banque canadienne BMO, une pandémie de grippe aviaire aurait des répercussions sur l'économie mondiale « comparables à la Grande Dépression des années 30 ». Elle pourrait notamment dévaster les industries aériennes et touristiques, entraîner un nombre record de faillites dans tous les secteurs, décimer les compagnies d'assurances, provoquer l'effondrement de l'immobilier. Seul le commerce électronique connaîtrait un boom. On peut toujours espérer que les prévisions des scientifiques soient démenties. Mais, dès l'instant où un risque majeur devient « probable », mieux vaut se préparer à l'affronter. Centralisé et fonctionnarisé, le modèle français se prête plutôt mieux que d'autres à l'exercice.






« Sur ce sujet, pâs de problème d'argent »

Le Point : Quelles mesures concrètes avez-vous prises pour protéger les Français face à la menace de grippe aviaire ?
Xavier Bertrand : La France a été un des premiers pays à mettre en place, dès octobre 2004, un plan national de lutte contre la grippe aviaire conforme aux exigences de l'Organisation mondiale de la santé. Dans ce cadre, l'Etat a notamment décidé de constituer d'importants stocks d'antiviraux afin de pouvoir traiter les patients éventuellement atteints. Ainsi, à la fin de l'année 2005, nous disposerons de 140 millions de doses de Tamiflu, capables de soigner 14 millions de personnes à raison de 2 doses quotidiennes par malade pendant cinq jours. Nous aurons aussi constitué un stock de quelques centaines de milliers de boîtes de Relenza (autre antiviral grippal). Fin 2005, 272 hôpitaux répartis sur le territoire disposeront d'un stock de 50 millions de masques de protection destinés au personnel médical chargé de traiter les malades. Nous allons commander pour la fin de l'année 150 millions de masques supplémentaires, ce qui portera le stock à 200 millions d'unités. Enfin, nous avons d'ores et déjà réservé 40 millions de vaccins capables de protéger autant de personnes auprès des laboratoires concernés. Ces vaccins ne pourront être fabriqués qu'une fois isolée la souche du virus responsable de l'épidémie. D'où l'importance, en attendant l'arrivée du vaccin, de l'usage curatif des antiviraux, et surtout - j'insiste - de l'utilisation des masques.

Etes-vous certain que cela sera suffisant pour 60 millions d'habitants ?
A la fin de cette année, ces premières précautions placeront la France en tête des pays les mieux protégés. Les premiers stocks d'antiviraux constitués l'ont été, par exemple, sur la base des recommandations des experts qui prévoient 14 millions de malades sur notre territoire. Aujourd'hui, mon nouvel objectif est de pouvoir protéger ou soigner l'ensemble de la population. Nous allons donc augmenter sensiblement nos stocks de masques, d'antiviraux et nos réservations de vaccins. Les discussions sont en cours avec les industriels concernés pour établir le calendrier des livraisons en fonction des quantités.

En fonction aussi des possibilités budgétaires ?
Alors là, il faut être clair ! A ce sujet, il ne peut y avoir de problèmes d'argent. Tous les savants, les experts, les chercheurs, en particulier ceux de l'OMS, sont unanimes pour considérer que la pandémie aviaire pourrait être un risque majeur. On doit s'y préparer.
La France ne joue-t-elle pas trop « perso » ?
Mon rôle, en tant que ministre de la Santé, est de protéger les Français le mieux possible. Je suis cependant bien conscient que, face à une telle pandémie, il faut créer une prise de conscience au niveau international. Dans les semaines qui viennent, un G8 de la santé se réunira en Italie

Propos recueillis par Jean-François Jacquier et Jean Guisnel"


Dernière édition par le Mar 27 Sep - 11:52, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeMar 27 Sep - 10:29

"A taaaaable !!!..."

On va tous mourir, les femmes et les enfants d'abord !!... mais moi aussi !
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeMar 27 Sep - 11:36

Non seulement, ils disent qu'on va mourir mais en plus on va être seul car si on peut contaminer les autres à moins de 2 mètres, personne ne viendra nous rendre visite de peur d'attraper ce virus et puis je suppose qu'on aura pas envie de le refiler aux autres non plus...

Sombre avenir... (espérons qu'ils se trompent...)
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeMar 27 Sep - 15:36

C'est pour ça qu'il faut boire du pastis !!!!!
alcolo alcolo alcolo
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeMer 28 Sep - 12:27

Perso, j'arrête de manger, je vais désormais boire uniquement de l'alcool ou de l'eau et manger des herbes de forêt ! Je vois pas d'autres solutiuons que de vivre dans une forêt ou une île déserte comme celle de Koh Lanta pour crever la dalle !!!
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeMer 28 Sep - 22:44

... fais gaffe à pas manger d'herbe où une poule grippée aurait chié hein...
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeMer 28 Sep - 23:18

quand vont ils inventé la grippe a biere?
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeJeu 29 Sep - 11:40

Je crois que tu l'as déjà celle-là... alcolo
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeJeu 29 Sep - 16:41

La grippe à vin, en ce moment pour moi.
Je me rappelle, ça m'est tombé dessus il y a 5 ans environ et depuis... bein... hip ! Pardon.
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeVen 30 Sep - 13:31

On se fait un Koh-Lanta béné' ? Tous sur TF1 avec Denis Brogniart (ah mais je crois qu'il n'en est plus le présentateur...) !!! Et on sera les seuls survivants de les restes du monde ! LES BENES VONT REPEUPLER LA PLANETE !
... ça va être joyeux...
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeVen 30 Sep - 15:15

Je fais la sélection des candidates filles avec comme bras droit Walid, Doun' et notre initiateur Allende !
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeVen 30 Sep - 18:45

pour les califs, je ressort les photos de Miss-String... ^^
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeVen 30 Sep - 21:05

eh bien ma premère leçon sera comment attraper du poisson avec vos soutifs les filles.
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitimeSam 1 Oct - 18:01

Et voilà comment un topic "sérieux" part en sucette...
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MessageSujet: Re: La grippe aviaire, affaire à suivre...   La grippe aviaire, affaire à suivre... Icon_minitime

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